Perplexe est une pièce totalement
déjantée. Du début à la fin c’est l’absurde au plus haut point.
La pièce de l’allemand Marius Von Mayenburg est revisitée par Frédéric Bélier-Garcia et interprétée par un quatuor de choc : Valérie Bonneton, Samir Guesmi, Christophe Paou et Agnès Pontier.
Le décor proposé rappelle d’ores et déjà le cliché de la comédie de boulevard ; un canapé, un aquarium, une véranda. Eva (Valérie Bonneton) et Robert (Samir Guesmi) reviennent de vacances, ils retrouvent leur domicile et leurs habitudes de couple en commençant par une dispute sur les factures d’électricités impayées. Et là, surprise ! Leur couple d’amis Sébastian (Christophe Paou) et Judith (Agnès Pontier) responsables de leur appartement pendant leur absence sont encore là ! Ils y ont pris leurs aises. Soudainement tout bascule. Le décor, les personnages, tout est chamboulé ! Chacun des personnages remet en cause sa propre identité. Au passage ils s’interrogent sur leurs propres existences (la théorie de Darwin, l’allégorie de la caverne…).
Toute la pièce tendra à la destruction progressive du décor qui créée l’illusion théâtrale, remise en question elle aussi.
Les dialogues sont interprétés de manière naturelle. Tellement naturelle que ce qu’il y a de plus tragique fait rire le public. On félicitera donc le quatuor de comédiens pour cette pièce qui ne vous laissera pas perplexes.
Frédéric Bélier-Garcia le dit lui-même et c’est une excellente manière de résumer :
La pièce de l’allemand Marius Von Mayenburg est revisitée par Frédéric Bélier-Garcia et interprétée par un quatuor de choc : Valérie Bonneton, Samir Guesmi, Christophe Paou et Agnès Pontier.
Le décor proposé rappelle d’ores et déjà le cliché de la comédie de boulevard ; un canapé, un aquarium, une véranda. Eva (Valérie Bonneton) et Robert (Samir Guesmi) reviennent de vacances, ils retrouvent leur domicile et leurs habitudes de couple en commençant par une dispute sur les factures d’électricités impayées. Et là, surprise ! Leur couple d’amis Sébastian (Christophe Paou) et Judith (Agnès Pontier) responsables de leur appartement pendant leur absence sont encore là ! Ils y ont pris leurs aises. Soudainement tout bascule. Le décor, les personnages, tout est chamboulé ! Chacun des personnages remet en cause sa propre identité. Au passage ils s’interrogent sur leurs propres existences (la théorie de Darwin, l’allégorie de la caverne…).
Toute la pièce tendra à la destruction progressive du décor qui créée l’illusion théâtrale, remise en question elle aussi.
Les dialogues sont interprétés de manière naturelle. Tellement naturelle que ce qu’il y a de plus tragique fait rire le public. On félicitera donc le quatuor de comédiens pour cette pièce qui ne vous laissera pas perplexes.
Frédéric Bélier-Garcia le dit lui-même et c’est une excellente manière de résumer :
« C’est une comédie absurde, ou plutôt une pièce sur l’absurdité de l’identité et du théâtre même».
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire