
Et les histoires se succèdent, s'imbriquent les unes dans les autres sans brusque transition. Guillaume Vincent créée des tableaux mêlant culture orientale et occidentale. La culture orientale s'illustre notamment par la musique, interprétée en direct au oud par Florian Baron. L'homme de théâtre va même au-delà de sa sélection de contes en choisissant de revenir sur la venue en de la chanteuse égyptienne Oum Kalsoum à Paris pour son célèbre concert parisien de 1967 à l'Olympia. Les époques dialoguent entre elles, se mélangent pour mieux se comprendre.
Le décor est imposant aussi bien par sa taille que par son apparence scintillante. François Gauthier-Lafaye qui signe la scénographie semble s'être amusé avec la multitude de rideaux, créant toujours plus d'espaces de jeu. Si par moment, le spectacle s'étire un peu, les onze comédiens offrent un jeu généreux où ils partagent une grande diversité des registres que leur imposent les contes sans exclusivement être "coincé" dans un genre selon le personnage interprété. Ce qui permet aux spectateurs d'apprécier le jeu varié de chacun. Guillaume Vincent signe ici une adaptation poétique et résolument contemporaine des contes.
Le décor est imposant aussi bien par sa taille que par son apparence scintillante. François Gauthier-Lafaye qui signe la scénographie semble s'être amusé avec la multitude de rideaux, créant toujours plus d'espaces de jeu. Si par moment, le spectacle s'étire un peu, les onze comédiens offrent un jeu généreux où ils partagent une grande diversité des registres que leur imposent les contes sans exclusivement être "coincé" dans un genre selon le personnage interprété. Ce qui permet aux spectateurs d'apprécier le jeu varié de chacun. Guillaume Vincent signe ici une adaptation poétique et résolument contemporaine des contes.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire